Commentaire - 《红与黑》

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Dans la comédie musicale Le Rouge et Le Noir, la chanson que je préfère est pour Julien et Mathilde.

Par l’origine et l’apparence bien prééminente, Mathilde n’apprécie jamais quasi personne. Mais elle rencontre Julien, un plébéien dont le génie et l’ambition sont beaucoup plus hautes que celles des nobles. Et les nobles sont aussi dédaignés presque ouvertement par lui. Ces deux personnes hyper orgueilleux habitent dans la même maison et ont dus se faire du mal à éprouver la nécessité de l’un pour l’autre. Chacun veut trouver ce qui deviendra le conquérant et ce qui gagnera plus de volupté que l’autre dans le processus de conquérir.

C’est un carnage que fait l’amour à l’amour-propre de l’homme, ni Julien ni Mathilde ne survivent. Rien n’est plus emballante & poignante que la relation entre eux. Après des tours de sondages, de compromis & d’effondrements, après les jets réciproques de sangs & de larmes, ils s’embrassent finalement.

Dans ces blessures réciproques, je semble m’apercevoir un grand côté de l’amour.

Pour les jeunes, il semble que rien n’est plus persuasive que la mise de côté de l’amour-propre à prouver l’existence de l’amour.

Comme M Louise de Rênal, Mathilde est aussi attirée par l’amour-propre unique et excessif de Julien. Elle est aussi fort torturée par lui. Il est un animal sauvage & agressif, pour l’amour, M Louise de Rênal essaie de l’apprivoiser par le temps et la patience ; Mathilde l’attrape brutalement et le roue de coups.

Elle réussit à ruiner Julien plus d’une fois. Elle le casse et le remodelle sans cesse jusqu’à ce que Julien trouve la règle dans le mélange & le cycle de sa passion & son indifférence : seulement quand il fait semblant de ne pas aimer Mathilde trop, il a probablement la chance d’être aimé d’elle. À ce moment-là, Julien maudit ce caractère, mais aussi chérit Mathilde comme chérit une reine.

Après tout, il semble que Mathilde est la personne lui convient le plus. Ces puissances égales, ces chassés-croisés & ces confrontations ne se retirant jamais si impressionnants rendent cependant le sacrifice & la tolérance de tout temps de M Louise de Rênal pour Julien un peu fades. Ou après m’être lassée de lire des égoïsmes et des illusions d’être blessé de Julien, je veux voir qu'il échoue complètement sous les pieds de quelqu’un.

Julien est hautain. Sa hauteur vient de ses expériences au passé, est une arme pour protéger son amour-propre qui est facile à être humilié à cause de son origine.

Mathilde a aussi assez de hauteur, puisqu’elle obtient tout dès sa naissance. Cela lui fait que son grand caractère n’est plus la hauteur, mais l’ennui. La hauteur pour Julien est le nécessaire mais seulement une couronne pour elle. Mathilde ne mourra pas sans hauteur, elle deviendra moins spéciale dans son cercle d’amis au plus.

Mathilde projette de faire devenir Julien le héros de son songe. Il fera une autre histoire avec elle pour sa famille. Elle craint fort que Julien ne convient pas à son amour et son sacrifice destinés à être grands en raison de son nom, donc a due se demander tout le temps si elle doit l’aimer. Avec cette hauteur de son squelette, elle est émue profondément par ses propres sacrifices. Le niveau dépasse beaucoup plus qu’elle émeuve Julien.

Et le sacrifice de genre de M Louise de Rênal, dont Julien a vraiment besoin, Mathilde ne l’accepte jamais. Elle ne supporte jamais le silence.

Julien l’a trouvé après longtemps. Il est déjà à la prison. “Il est singulier pourtant que je n'aie connu l'art de jouir de la vie que depuis que j'en vois le terme si près de moi.” Mathilde et lui ne sont pas les semblables. Ils ne sont que les plus grands dissemblables de leurs propres groupes. L’un vers le haut, l’autre vers le bas et tous considèrent la rencontre par hasard comme la raison destinée d’être similaires.

Sans doute dans la jeunesse, tout le monde est Mathilde, se décide à prendre les méandres de l’amour pour prouver son existence et sa nécessité.

Dans toutes les inégalités entre Julien et ces deux femmes, M Louise de Rênal voit l’âge, dont la différence lui fait se voir très bas ; Mathilde voit l’origine, qui lui fait penser comme une belle aventure.

Enfin, M Louise de Rênal suit la mort de Julien, parce que l’existence de Julien est toujours son attachement le plus grand pour ce monde ; Mathilde a aussi l’idée similaire, pense encore cette mort deviendra à jamais le sujet de la discussion à Paris.

Mathilde elle-même est plutôt comme la miniature de la vie espérée de Julien. Après être arrivé à Paris et l’avoir rencontrée, Julien maudit comme autrefois les gens qu’il dédaigne en les approchant. Il marche droit à sa vie idéale, attend de se transformer de l’ombre du loup en un loup vrai.

Donc dans le dernier moment, il trouve qu’il n’espère jamais cette vie comme il n’aime jamais Mathilde. Par rapport à une femme pouvant faire un grand retentissement avec lui à Paris, il se désole plus de ne pas trouver une mère tendre et désintéressée pour son enfant. Il ne veut non plus vivre ensemble avec ce fauve qu’il ne peut même pas honnêtement aimer, faire semblant se priser à leur vraie valeur avec un revolver armé tenant dans la main.

Le coeur de Julien revient derechef auprès de M Louise de Rênal, tout comme un enfant ayant soif d’aventure a fait une fugue, après être tombé par terre et blessé sur tout le corps, a trouvé qu’il aimait plus la lampe de lumière chaude dans la maison.

Mathilde n’est pas Julien. Elle est née quasi sur la destination que Julien peut arriver par toute sa vie. Son ambition est différente de celle de Julien. Elle exige aussi une sorte de héroïsme, mais dont elle a besoin est plus haut et loin. Elle n’éprouve non plus comme Julien le sentiment d’être dévisagée par la mort tenant la faucille et le sablier dehors la fenêtre .

Elle est à son point de départ, debout, attend que Julien l’attrape et veut encore se presser. Mais Julien est déjà épuisé à ce moment-là, car il court plus longtemps et plus de distances qu’elle.

Enfin, Mathilde enterre comme ses ancêtres la tête de son amant à souhait. Tout correspond à son songe à l’égard du romantisme, excepté qu’elle trouve au dernier moment que cet amant ne l’aime pas.

Julien prédit que l’amour de Mathilde pour lui disparaitra avec son désir excessif pour le romantisme dans quelques années. Mais tel loin qu’elle marchera sur le chemin de poursuivre la grande vie, ce livre ne recherche plus.