作者
Oberkampf/科西嘉
L'obsession de l'écriture a gâché ma vie
La vraie vie est absente. Nous ne sommes pas au monde.
Le grand art est une modestie.
Je suis maître de ce lieu où je vais me mettre à mort.
Tu es ma grève générale.
J'écris pour retrouver le bonheur perdu.
Frères qui après nous vivez...
L'amour on n'y comprend rien.
Je veux que l'âme la plus ferme soit la plus pleine de pleurs.
Et moi seule j'échappai, pour venir te le dire.
Ignorez-moi passionnément !
La communauté ne serait rien si elle n'ouvrait celui qui s'y expose à l'infinité de l'altérité.
Nul ne meurt si pauvre, dit Pascal, qu'il ne laisse quelque chose.
La maladie, la folie et la mort sont des anges noirs qui ont veillé sur mon berceau et m’ont accompagné toute ma vie
Un intellectuel est un homme qui , en plus de vivre sa vie, cherche à penser sa vie.
Il ne faut pas multiplier le nombre des entités au-delà de ce qui est nécessaire
Est-ce que quelque chose vaut exactement son prix？--Jamais
Ceux qui comprennent rien comprennent mieux que ceux qui comprennent mal.
Maudissez le monde, il vous le rend bien.
La tristesse durera toujours.
La vraie vie est absente. Nous ne sommes pas au monde.
Le grand art est une modestie.
Je suis maître de ce lieu où je vais me mettre à mort.
Tu es ma grève générale.
J'écris pour retrouver le bonheur perdu.
Frères qui après nous vivez...
L'amour on n'y comprend rien.
Je veux que l'âme la plus ferme soit la plus pleine de pleurs.
Et moi seule j'échappai, pour venir te le dire.
Ignorez-moi passionnément !
La communauté ne serait rien si elle n'ouvrait celui qui s'y expose à l'infinité de l'altérité.
Nul ne meurt si pauvre, dit Pascal, qu'il ne laisse quelque chose.
La maladie, la folie et la mort sont des anges noirs qui ont veillé sur mon berceau et m’ont accompagné toute ma vie
Un intellectuel est un homme qui , en plus de vivre sa vie, cherche à penser sa vie.
Il ne faut pas multiplier le nombre des entités au-delà de ce qui est nécessaire
Est-ce que quelque chose vaut exactement son prix？--Jamais
Ceux qui comprennent rien comprennent mieux que ceux qui comprennent mal.
Maudissez le monde, il vous le rend bien.
La tristesse durera toujours.
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